Aracelly Denise Granja

Chercheure doctorante, Université d'Ottawa

Aracelly Denise Granja

Chercheure doctorante, Université d'Ottawa

Aracelly Denise Granja est doctorante à l’Université d’Ottawa, sous la direction de la professeure Marie-Christine Doran. Sa recherche doctorale porte sur la criminalisation des défenseurs des droits humains et de la société civile au Honduras et au Nicaragua. Elle s’intéresse particulièrement à tenter d’établir une relation causale entre la criminalisation et la dé-démocratisation. Ses travaux de recherche au Centre de gouvernance portent sur les investissements dans les infrastructures publiques au Canada ainsi que sur l’impact de la pandémie de COVID-19 sur la gouvernance universitaire et les transformations des politiques publiques. Elle a une solide expérience en relations internationales et en études politiques. Elle a complété ses études de premier cycle à l’Université York, campus de Glendon, où elle a obtenu un baccalauréat ès arts international trilingue (I.B.A) en sciences politiques. Elle a approfondi sa compréhension de l’importance du mondialisme en congruence avec la politique en effectuant un semestre à l’étranger à l’Universitat Autonoma de Barcelona. De plus, au cours de sa carrière de premier cycle, elle a complété avec succès deux certifications : la première en excellence bilingue en anglais et en français et la seconde en droit et pensée sociale. Elle a toujours poursuivi des efforts philanthropiques qui aident à la protection des droits de l’homme. À ce titre, elle a effectué un stage au Centre for Spanish Speaking People’s Legal Clinic à Toronto. Là, elle a aidé dans des affaires relatives à des demandes d’immigration et de statut de réfugié, ainsi que des différends entre propriétaires et locataires. Elle a complété une maîtrise (M.A.) en affaires publiques et internationales à l’Université d’Ottawa, où sa thèse, intitulée « UNSC Reform in a Post-Cold War Era: Eliminating the Power of Veto », postulait que si l’objectif de la restructuration le Conseil de sécurité renforce à la fois son efficacité et sa légitimité, alors l’option de réforme la plus viable est l’élimination du droit de veto détenu par ses cinq membres permanents (P-5). Actuellement, elle continue de centrer ses recherches sur la protection des droits de l’homme en Amérique latine.

 

Ce contenu a été mis à jour le 7 février 2023.