¡Creando poder popular! 50 ans de création du pouvoir populaire dans les mouvements sociaux et syndicaux
Louise Harel, Sebastien Rivard (Organisateur communautaire), Amélie Nguyen (CISO), Chantal Ide (CCMM-CSN), Amir Khadir (Membre fondateur de QS), Nimâ Machouf (NPD), Marisol Laneuville (CSN), Andrés Fontecilla (QS), Marcela Escribano (Alternatives), Benoît Lacoursière (FNEEQ)
¡Creando poder popular! 50 ans de création du pouvoir populaire dans les mouvements sociaux et syndicaux, Écomusée du fier monde 2050 Rue Atateken, Montréal, Québec
Link to the event12 Octobre 2023 à 18h00
Animation :
- Manuel Peñafiel
- Ricardo Peñafiel
Participant-e-s :
- Mme. Louise Harel
- Sebastien Rivard (Organisateur communautaire)
- Amélie Nguyen (CISO)
- Chantal Ide (CCMM-CSN)
- Amir Khadir (Membre fondateur de QS)
- Nimâ Machouf (NPD)
- Marisol Laneuville (CSN)
- Andrés Fontecilla (QS)
- Marcela Escribano (Alternatives)
- Benoît Lacoursière (FNEEQ)
Derrière la notion de « Créer le pouvoir populaire » (Crear poder popular) le gouvernement de l’Unité Populaire (UP) et Salvador Allende mettent en place les conditions pour qu’une révolution qui vient d’en haut rejoigne une révolution qui vient d’en bas. Le processus de transformation sociale, culturelle, politique, idéologique et économique conduit par l’UP se verra fortement marqué par la participation active de la base militante, ouvrière, paysanne, étudiante, féministe, poblacionale (des quartiers populaires), etc. Ce type de mobilisation et d’organisation autonome des bases s’inscrit dans une mouvance latino-américaine qui a également touché le Québec. Encore aujourd’hui, les grèves étudiantes (2006 et 2011) et féministes (2018) du Chili contemporain, de même que les luttes des Mapuches contre la colonisation de leurs terres (Wallmapu) ou le soulèvement populaire du 18 octobre 2019 ont également inspiré le Québec qui, à titre d’exemple, a repris la pratique des casseroles chiliennes des années 1980 lors du printemps érable…
Cette table-ronde vise à explorer comment l’expression du « pouvoir populaire » trouve des échos ici au Québec ; comment le legs de cette tendance autonomiste, qui a été le moteur des luttes sociales des années 1970, habite encore divers mouvements communautaires et syndicaux et comment cette notion peut aujourd’hui être ravivée et inspirer des actions et des luttes transformatrices.
Organisé par
- Groupe de recherche sur les imaginaires politiques en Amérique latine (GRIPAL)
- Observatoire violence, criminalisation et démocratie (OVCD)
- Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN)
- Conseil central de Montréal métropolitain (CCMM-CSN)
- Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM (SPPEUQAM)
This content has been updated on October 9, 2023.